Le primobolan n’aromatise pas : il n’y a donc pas de soucis liés aux effets secondaires de l’estrogène. Ceci est très utile dans la préparation à une compétition de culturisme car la rétention d’eau sous-cutanée (due à l’estrogène) peut fortement diminuer l’apparence de dureté et la netteté des muscles. Les stéroïdes non aromatisants sont donc indispensable aux candidats car ils les aides à développer une masse compacte et massive au cours des semaines qui précèdent l’événement. En outre, naturellement, en l’absence d’excès d’estrogène, il existe peut de risque de gynécomastie chez l’athlète. Aussi, avec ce stéroïde, la consommation d’antiœstrogènes ne devrait jamais devenir nécessaire. On rapport également que le méthénolone n’a qu’un faible effet sur la production naturelle de testostérone.

Il est également important de noter que malgré la faiblesse de la composante androgène du méthénolone, il peut y avoir des effets secondaires. On pourrait donc remarquer la présence d’une peau huileuse, de l’acné et une pilosité faciale et corporelle accrue au cours du traitement. Les hommes ayant une prédisposition à la calvitie pourraient également remarquer que le produit aggrave cet état – et préférer l’éviter (les produits injectables de nandrolone sont un bien meilleur choix). Bien que les effets secondaires demeurent possibles, ils en viennent rarement à perturber l’évolution du cycle. Parmi les stéroïdes oraux actuellement en production, le primobolan est manifestement l’un des plus doux et des plus sûrs. Les athlètes féminins, les personnes plus âgées ou plus sensibles et les consommateurs novices de stéroïdes trouveront sans aucun doute que ce stéroïde est facile à essayer.