Acheter de l'Stanozolol en toute légalité
Est-il possible d’acheter du STANOZOLOL (WINSTROL) et d’autres stéroïdes anabolisants sans enfreindre la loi ?OUI !!!
Nous avons trouvé la seule pharmacie en ligne exploitée par une société inscrite en Union européenne. Ils vendent de l’Stanozolol (Winstrol) dans tous les pays d’Europe, aux États-Unis et au Canada EN TOUTE LÉGALITÉ. C’est donc à dire que la marchandise n’est PAS saisie aux douanes et que vous n’enfreignez PAS les lois de votre pays !
COMMENT EST-CE POSSIBLE ? C’EST POURTANT LA VÉRITÉ. IL S’AGIT D’UNE MODIFICATION QUI AGIT EXACTEMENT COMME L’STANOZOLOL (WINSTROL), SANS ÊTRE ILLÉGAL.
*Une société officiellement inscrite et contribuable en Union européenne, avec un numéro d'identification TVA de l’Union européenne (et non pas l’un de ces laboratoires clandestins qui se présentent comme des entreprises légitimes).
*Les cartes de crédit sont acceptées (non pas par un intermédiaire extraterritorial douteux, mais bien par une banque normale en Union européenne).
*Tous les produits sont munis de codes de sécurité.
*Ils sont fabriqués en Union européenne selon les normes les plus exigeantes de l’industrie pharmaceutique.
*Possibilité de livraison par envoi contre remboursement partout en Europe.
*Les produits sont expédiés avec une lettre aux douanes expliquant qu’ils sont légaux, avec toutes les coordonnées du producteur/vendeur, d’autres documents et permis pouvant être fournis sur demande.
*Magasin d’usine officiel.
Le stanozolol est un SAA actif grâce à la stabilité procurée par le groupe 3,2 pyrazole sur l’anneau A, qui accroît considérablement la liaison aux récepteurs androgènes. Le groupe C-17 méthyle accroît la biodisponibilité orale.
Le stanozolol est très actif dans les tissus sensibles aux androgènes et aux anabolisants. C’est un androgène plus faible que le DHT et il a moins d’effets androgènes. Il n’aromatise pas en métabolites œstrogéniques.
Ce SAA, commercialisé aux États-Unis et à l’étranger sous le nom de Winstrol, est disponible en formes orales et injectables.
Certains athlètes l’ont consommé de façon abusive, souvent en athlétisme. En 1988, le sprinteur canadien Ben Johnson s’est vu retirer sa médaille d’or olympique après avoir obtenu des résultats positifs à une épreuve de dépistage de stanozolol.